Description
15 000€ pour sauver l’abbatiale !
En février 2021, après plusieurs mois de débats, a lieu la démolition de la chapelle Saint-Joseph de Lille. En France, des centaines d’églises ou de chapelles désaffectées ou endommagées sont elles aussi menacées de destruction.
Un sentier de 3 abbayes en pays de Brocéliande
- l’abbatiale de Saint-Méen
- Notre-Dame de Paimpont
- Saint-Jacques de Montfort
Le sentier des 3 abbayes, de 95 km, débute à la maison natale de saint Louis-Marie Grignion de Montfort, se poursuit vers l’abbaye de Saint-Méen, puis rejoint Notre-Dame de Paimpont et l’abbaye Saint-Jacques de Montfort.
Il ne s'agit donc pas simplement de sauvegarder l'abbatiale de St Jacques mais de la restaurer par la suite pour qu'elle puisse rayonner avec ses deux autres soeurs !
Appeler aux dons : une urgence
Dernièrement, la municipalité a procédé à une mise en demeure de l’OSJ. Un arrêté municipal pour « péril imminent » nous oblige à lancer des travaux dans les plus brefs délais. Nous devons consolider la porte de l’abbatiale de Montfort-sur-Meu, classée à l’inventaire des Monuments Historiques, et l’empêcher de s’effondrer.
Nous avons déjà pris contact avec une entreprise qui se chargera des travaux : il ne nous manque plus que les fonds pour commencer notre projet de restauration. En d'autres termes, il ne tient qu'à vous de sauver ce trésor historique ! 15 000 € sont nécessaires pour sécuriser ce bâtiment : aidez-nous !
Petite histoire de l’abbaye
L’abbaye Saint-Jacques est fondée en 1152, et financée par Guillaume Ier de Montfort. Elle accueille tout d'abord les Chanoines réguliers de Saint-Augustin. Reconstruite au XIVe siècle, elle conserve son portail d’origine, qui est inscrit aux Monuments historiques. D’importants travaux sont effectués en 1428.
En 1976, elle connaît un important incendie qui force son abandon. Les murs résistent au feu et aux intempéries, mais ce sont les seuls éléments qui subsistent. De lourds travaux seront nécessaires si nous voulons sauver ce patrimoine historique et religieux. En attendant, 15 000 € seront suffisants pour sécuriser le site et éviter sa démolition.