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Pour nous la musique est plus qu'un art, c'est une vibration en résonance avec la beauté, la création, l'Amour, et ce, des chœurs lyriques, aux guitares saturées ! »

Des guitares acoustiques accompagnées de mandolines chatoyantes, notre album sera en bonne partie folk. La pop et l'électro auront aussi leur place dans cet opus résolument coloré. Certaines de nos chansons toucheront des sujets plus graves et profonds. Partageant nos chemins de vie et ce que Dieu nous a donné dans nos épreuves et dans nos joies, cet album est pour nous un moyen de poser une petite pierre à l'édifice d'un avenir meilleur.

N'avons-nous jamais été rejoints par certaines musiques qui nous redonnent espoir dans des situations apparemment sans issue ?

Claire nous partage son parcours :

J'ai commencé à côtoyer les planches, par la danse depuis l'âge de 4 ans avec la complicité de ma sœur jumelle. J'ai été aussi marqué par le disque de musique chrétienne, enregistré par ma mère lorsqu'elle était enceinte de nous. C'est au sein d'une paroisse dynamique du Var, et par une chorale de jeunes, que ma foi va grandir.
A 15 ans, je découvre l'animation liturgique, suivant les traces de ma mère. Je chante avec ma sœur des psaumes en duo. Participant à plusieurs spectacles pour un festival de jeunes, qui avait lieu annuellement, je découvre le contact avec le public. J'éprouve une joie immense lors de concerts de louange ou d'animation liturgique, à louer avec le public et à entrer ensemble en communion vers Dieu. Lorsque j'ai découvert

la guitare, à l'âge de 18 ans, j'ai commencé à composer des chansons. Je les enregistrais sur mon téléphone en écrivant les textes sur un cahier dédié. Très mobilisée par mes études de médecine, la musique est un refuge, une pause spirituelle et artistique où je peux me livrer et être pleinement moi-même. C'est un lieu où ma personnalité s'est affirmée.

Après ma première année, très intense et aride spirituellement, je participe à un groupe de prière dans la crypte de l'Eglise des Réformés à Marseille. Petit à petit, j'anime ce petit groupe joyeux où ma voix s'affirmera encore au fil des rencontres. Un jour, dans cette même crypte, ressentant une joie immense en chantant, je consacre ma voix à Dieu pour qu'il en fasse « son œuvre et sa propriété ».En 2009, j'arrive à Paris pour la fin de mes études et découvre le groupe de prière et d'adoration ABBA. Années de bonheur, d'amitié, de simplicité. Ce groupe a approfondi ma relation à Jésus et m'a fait découvrir la joie de « se fondre » dans un chœur qui prie. J'ai ensuite la chance de participer à l'animation liturgique du Festival Marial International pendant trois ans et au festival d'évangélisation

Anuncio. Ensuite j'ai rencontré Luke, ouvrant un nouveau chapitre de ma vie.

«Artiste prolifique et spontanée, elle a une plume assurée et pleine d'esprit. Sa voix cristalline est la première chose qui m'a touchée en elle. Les mélodies qu'elle créées sont touchantes et faciles à retenir. Se livrant sans détour, ses textes sont bruts et sincères. Consciente des changements de notre temps, ses paroles sont engagées et dénoncent ce qui la révolte. Mais elle a d'abord à cœur d'annoncer l'amour révélé par Jésus.»

Luke nous partage son parcours :

J'ai été pétri tout petit de la culture rock folk des années 60-80 par mon père, guitariste à ses heures. Il m'a transmis cette fibre mélomane forte. Suivant son exemple, je commence à jouer de la guitare classique à 8 ans. Grand fan de Dire Straits, je m'amuse à essayer de trouver à l'oreille les accords des morceaux et à rejouer les solos. Ma famille rencontre de grosses difficultés entre mes 13 ans et mes 20 ans.

De mon côté, je suis sujet à 17 ans à des crises d'angoisses terribles qui conduisent à une phobie des grands espaces handicapante. C'est dans cet épisode que je crie vers Jésus et me sens un peu mis à part.
La guitare devient un refuge et je joue énormément. Je commence aussi à composer des musiques et des chansons. Pourtant, la vie continue et je monte mes premiers groupes à Blois. Ma rencontre décisive avec Jésus se fera à Londres dans un foyer de mère Térésa, par les pauvres dont je me sens proche. Mais surtout, je comprends qu'il a été jusqu'à mourrir sur la croix pour moi. Lui qui est Dieu a choisi de vivre la souffrance humaine et la mort. Il connait ma souffrance. C'est une libération, pour moi qui me sentais si seul, et le don de sa résurrection ouvre mon avenir que je voyais si sombre, jusqu'à présent. Suite à cette expérience, ma vie prend un virage fort et je pars un an pour évangéliser et me former.

Cette année me donnera la guérison de ma voix, peu assurée. S'en suivra au Mans, puis à Paris de nombreuses collaborations très hétéroclites allant du lyrique, au funk, en passant par un groupe de reprises sur les péniches, en tant que guitariste et chanteur. J'ai eu aussi la chance de chanter dans plusieurs cd de la communauté de l'Emmanuel, dans les années 2000. Cela a été très formateur. Pour moi, la musique est universelle. Elle est la beauté et peut toucher profondément. Elle peut rejoindre la souffrance, le doute, le vide, apporter la joie, l'exubérance, l'amour.

«Sensible et déterminé, Luke a une capacité naturelle à trouver des musiques et des riffs très inspirants et profonds. Sa voix haute et puissante me touche. Sa musique emporte et fait voyager l'auditeur dans une ambiance à la fois cool et céleste. En parallèle, il a un don particulier pour l'imitation et les langues, aimant la culture et les conversations en anglais. Il a le don de capter l'intonation précise de l'autre pour en faire une satire à ses heures...»

Notre rencontre s'est faite autour de la musique en collaborant à monter un spectacle musical et poétique, Levahna. Nos premiers rendez-vous sur les bords de Seine étaient des moments de création musicale, dont une chanson, présente dans l'album, est le fruit. Nous nous sommes mariés en 2014 et avons eu la joie d'accueillir notre premier enfant en 2015 : Marie-Eve. Après s'être installés à Vannes, rapidement, le désir d'enregistrer un album est venu. Nous avons sélectionné 12 chansons pour partie universelles et pour partie spirituelles. Nous espérons qu'avec votre aide et celle de Dieu, il aura du succès.

Nous avons collaboré au sein d'un groupe de louange monté à l'occasion du Festival Marial : les SIMS (reprenant l'anagramme des « Serviteurs Inutiles de Marie »). Suite à un éloignement géographique ce groupe s'est arrêté. Le désir de garder l'identité d'un couple dans notre nom de scène et donc nos prénoms, a conduit à réfléchir à un nom plus adapté que notre simple nom de famille. Un des ancêtres écossais de Luke s'appelait De Winton. Cadrant bien avec nos tendances folk et issu d'un héritage familial, ce nom nous est apparu idéal. Ainsi est né, le duo Claire et Luke Winton.

Les fonds récoltés vont nous permettre de réaliser en grande partie la préparaiton et la sortie de l'album. Pour le réaliser nous avons besoin d'environ 7 000 euros.

Cet argent sera utilisé pour les priorités de réalisation suivantes :

• Réalisation de l'album studio et arrangement : 3 000 €
• Mastering : 850 €
• Frais de promotion : 500 €
• Paiement des musiciens : 2 000 €
• Clip vidéo : 650 €