Description
Le diocèse de Digne a la joie de compter huit séminaristes mais n'a pas les moyens de subvenir intégralement à leur formation...
Merci de nous aider en soutenant la formation des séminaristes
Le diocèse de Digne
Le diocèse de Digne, dont les limites correspondent au département des Alpes-de-Haute-Provence, compte 165 000 habitants, dont 60 % vivent en milieu rural.
Ce diocèse est un des plus étendus de France. Sa frontière sud est à moins de 50 km de la mer, quant à son sommet, il culmine à 3400 m de hauteur.
Avec plus de 300 jours de soleil par an, c’est une destination touristique très attractive. 60 % de la population vit du tourisme, en hiver dans les petites stations de ski familiales, et en été grâce aux sites exceptionnels du Luberon, du Verdon et du Mercantour entre autres.
On y est à la fois en Provence et dans les Alpes.
On passe des plateaux de blé, d’épeautre et de lavande, à la gentiane et aux edelweiss des hauts sommets enneigés, du chant des cigales au cri des marmottes, de l’olivier au mélèze, des rivières impétueuses des vallées aux grands lacs calmes de haute montagne.
Un diocèse qui a une longue et riche histoire !
Saint Fauste fut évêque de Riez au 5ème siècle, Saint Mayeul y est né, au 10ème siècle, avant de devenir le 4ème abbé de Cluny ; et aussi au tout début du 19ème siècle, Mgr de Miollis auquel Victor Hugo consacra de longs passages de son œuvre romanesque, “Les Misérables”, où il lui donne le nom de Bienvenu Myriel (cf. le célèbre passage avec les chandeliers de Jean Valjean).
Un diocèse qui compte 7 cathédrales !
Deux se trouvent à Digne : Notre-Dame du Bourg, la principale et la plus ancienne et Saint Jérôme. Les autres sont situées à Entrevaux, Forcalquier, Riez, Senez et Sisteron.
Le diocèse compte 11 laïcs en mission, 36 prêtres (dont 28 de moins de 75 ans) et 8 séminaristes en formation.
C’est un diocèse très étendu, avec de très faibles revenus, auquel le Seigneur envoie des vocations. Aider le diocèse à assurer financièrement la formation de ses séminaristes, c’est un acte de foi très concret qui exprime votre désir d’agir et de vous engager pour l’annonce de l’Évangile.
Comment sont formés les séminaristes ?
La formation d'un séminariste commence par une année de discernement (l'année de propédeutique) au terme de laquelle débutent les deux premières années de formation à dominante philosophique, c’est le 1er cycle de formation. Viennent ensuite les trois années de 2nd cycle, à dominante théologique. L'année diaconale clôt cette formation, au rythme de trois semaines en paroisse et une semaine au séminaire.
Un futur prêtre se prépare dans toutes les dimensions de son existence à se mettre au service de tous. Cette formation s’organise en quatre grands domaines :
- La formation humaine, car on forme un homme avant de former un prêtre.
- La formation intellectuelle permet d’acquérir une connaissance et une intelligence toujours plus approfondies de la foi chrétienne ainsi qu’une capacité à comprendre le monde actuel et les questionnements de nos contemporains.
- La vie spirituelle, qui est le fondement de toute vie à la suite du Christ.
- La formation pastorale, parce qu’on est envoyé à un peuple.
Pour plus d’informations sur les séminaires où étudient nos séminaristes :
- Site du séminaire saint Luc : www.catho-aixarles.fr/diocese/seminairesaintluc/
- Site du séminaire Notre-Dame de Vie : studiumdenotredamedevie.org
- Site du Séminaire de la SJMV à Ars : seminairears.org
Combien coûte la formation d'un futur prêtre pendant 1 an ?
- 6 séminariste à temps plein au séminaire : 131 300 euros
- 2 séminaristes en paroisse
Soit un coût total d’environ 140 000 euros pour l’année. Nous avons déjà réuni la moitié de la somme mais il nous manque 70 000 euros.
Le mot de l'évêque...
Chers amis,
C’est dans la confiance que je vous retrouve pour solliciter à nouveau votre aide pour la formation des séminaristes de notre diocèse.
Quelle joie d’accueillir ainsi des jeunes sur le chemin du sacerdoce !
C’est une vraie espérance pour demain !
Mais aujourd’hui, notre diocèse ne peut subvenir à leur formation. Ayant très peu de moyens, nous sommes donc confrontés à ce paradoxe : il y a des séminaristes, mais pas assez de moyens pour assurer jusqu’au bout leur formation !
Merci de nous aider à former les prêtres de demain !
Merci de nous aider à traverser cette passe difficile mais pleine d’espérance !
+Jean-Philippe Nault,
évêque de Digne, Riez et Sisteron