L’industrie musicale va mal. Après la catastrophe du téléchargement illégal au début des années 2000 et la chute des ventes de CDs, les plateformes de streaming musical ont commencé à émerger, pour le mieux puis pour le pire. Spotify, Deezer, ou encore Apple Music sont désormais des incontournables de la consommation de musique au quotidien. Ces plateformes, bien que salvatrice en certains aspects, font mal à la musique. Elles pratiquent une rémunération des ayants droits (artistes, auteurs, labels, etc.) qui favorise les artistes déjà très populaires face aux artistes de catégories de niche notamment les artistes chrétiens. C’est ce déséquilibre dans la rémunération qui met à mal l’industrie musicale, la normalise, l’appauvrie, et tire les profits vers les célébrités commerciales.

Le modèle de l’abonnement - music as a service - est aussi un soucis, car il plafonne le volume du panier musical mensuel par abonné, la limitant à une dizaine d’euros quand certains fans étaient prêts à dépenser des centaines par mois pour soutenir et découvrir de nouveaux artistes. Pour illustrer, un artiste en label doit générer aujourd’hui plus de 250.000 écoutes par mois sur une plateforme comme Spotify pour gagner 100€. Les conséquences auprès des artistes sont profondes car ce besoin de générer des écoutes en continu les obligent à produire des nouveautés à haute fréquence pour continuer de générer des écoutes.

Le problème majeur du streaming actuel est la répartition des abonnements qui est jugée injuste par nombre d’artistes et labels. En effet, elle ne prend en compte que les écoutes globales et non les écoutes par abonné individuellement. Dit simplement, les utilisateurs qui ont les plus de temps d’écoutent aspirent le montant de l’abonnement des autres utilisateurs, ce qui déséquilibre significativement les rémunérations (jusqu’à 24% de pertes pour certaines catégories). L'impact est significatif pour certains genres musicaux comme démontré dans l'étude Centre National de la Musique, simplement parce que les abonnés n’en font pas le même usage.

Face à ces 2 problèmes majeurs (chute des revenus des artistes, et manque d’équité dans leur rémunération), TopMusic apporte une solution de streaming plus juste et équitable pour les artistes, notamment les artistes chrétiens.

La nouvelle application TopMusic est accessible gratuitement, mais devient payante sur la base d'un abonnement mensuel pour débloquer les fonctionnalités majeures. Le tout, dans l'optique de soutenir financièrement et aider les artistes à développer de nouveaux projets musicaux ambitieux. L’application TopMusic apporte aux artistes chrétiens une solution double : donner de la visibilité à leurs projets auprès d’une audience chrétienne francophone très ciblée, tout en leur permettant de bénéficier directement du soutien financier de ces auditeurs selon un modèle plus juste (basé sur les tips – pourboires - , et les écoutes de l’abonné dit méthode « User Centric »).
D’après les estimations actuelles, l’application permettra de financer entre 3 et 15 fois plus les artistes par rapport à la moyenne actuelle des plateformes, en fonction de l’engagement de la communauté des artistes.

LE MEILLEUR DE LA MUSIQUE CHRÉTIENNE
TopMusic rassemble en une seule application le meilleur de la musique chrétienne. Plus d’une centaine de playlists sont préparées par l’équipe éditoriale pour accompagner les utilisateurs tout au long de la journée, et quels que soient les goûts musicaux. Régulièrement mises à jour, ces playlists donnent l’occasion de découvrir toujours plus de nouveaux talents.

RÉMUNÉRATION DES ARTISTES BASÉE SUR LA MÉTHODE USER CENTRIC
Ce mode de rémunétaion se veut plus juste et équitable. La rémunération des artistes sera basée sur les écoutes de chaque utilisateur. Un abonné qui écoute à 80% Gregory Turpin verra 80% de son abonnement destiné à cet artiste. Cett approche est révolutionnaire et va foncièrement modifier à la hausse les revenus des artistes de niches notamment les chrétiens.

"MA CAGNOTTE" POUR SOUTENIR DIRECTEMENT AUX ARTISTES DE SON CHOIX
L’application TopMusic inclut une toute fonctionnalité Premium simple mais inédite : “Ma Cagnotte”, qui permet aux abonnés de distribuer directement et simplement aux artistes des tips au cours de leur écoute, le nombre de Topcoins disponibles dans la cagnotte dépend du montant de l’abonnement, et est renouvelé chaque mois. Ainsi, l'utilisateur peut distribuer ses Topcoins selon ses envies aux artistes qu'il souhaite soutenir, en plus de ce que ses écoutes vont générer en droits d’auteurs.
A travers cette fonctionnalité “Ma Cagnotte”, TopMusic crée un lien qui n’avait jamais été possible avant entre l’auditeur/soutien et l’artiste. En effet, ces derniers pourront savoir qui les soutient, créant ainsi une relation de micro-producteurs entre eux; libre ensuite aux artistes d’impliquer significativement leurs soutiens.

ABONNEMENT LIBRE À FIXER
Une seconde originalité du business modèle, TopMusic réside dans le montant de l'abonnement. Contrairement aux plateformes classiques où le montant est fixé, sur TopMusic le montant est libre (avec un minimum de 5€TTC/ mois). Cette liberté permet à ceux qui le souhaitent de soutenir plus largement leurs artistes favoris.

Le projet TopMusic a plusieurs objectifs, le principal étant : Partager la bonne nouvelle du Christ et la promotion des valeurs chrétiennes d’amour, de foi et d’espérance en France. Pour cela l’application est un moyen de financer l’écosystème de la musique chrétienne francophone de manière juste et durable, et permettre ainsi aux artistes de développer des projets ambitieux et de grande qualité, pour toucher un public jusque-là hors d’atteinte.
La métrique principale, mesurant l’impact concret du projet est le montant total reversé aux artistes et le ticket moyen par artiste. Les estimations basées sur des données de Tipee, Twitch, Patreon, Spotify et Deezer, permettent d’estimer que TopMusic rémunèrera entre 3 et 15 fois mieux les artistes.
Sur les 5 prochaines années, l’impact financier attendu dépasse les 10 millions d’euros reversés aux artistes.

L'équipe de projet est composée d'experts dans des domaines clés (gestion de projet, développement de produit, design, marketing, partenariats musicaux ; le développement de l'application elle-même (le front-end) est sous-traité à un partenaire technique (Noveo Group).

Le projet TopMusic est porté par la SAS TOPMUSIC, qui est une joint-venture entre BOOOST SARL et l’association TOPMISSION.

Le projet TopMusic s’inscrit dans un mouvement général de modernisation et de renouvellement de l’église dans la société française pour la mission. Boost et TopMission sont profondément ancrés dans l’éco-système chrétien, à la fois au niveau médiatique (RCF, InfoChrétienne, TopChrétien, Phare FM, etc.) et au niveau marketing digital. Le projet peut compter sur leurs partenaires musicaux : artistes, labels et maisons de disque, paroisses/églises (Première Partie, Communauté de l’Emmanuel, Hillsong, Integrity Music, Bethel, MLK, Reach Records, La Chapelle, etc.).
Plus de 50 artistes sont ambassadeurs (Collectif Cieux Ouverts, Gregory Turpin, Hillsong, Dan Luiten, Matt Marvanne…) et relaient le projet auprès de leurs audiences.

Selon le prévisionnel financier établi, le point mort (Breakeven) est atteint au 1er trimestre de l'année 3. Cette levée de fonds a vocation a financé les trois premières années de lancement jusqu'au point mort. Vous pouvez retrouver tous les détails financiers dans le document "Information investisseur" à télécharger sur la page en étant connecté à votre compte.

Les Royalties (redevances) correspondent à un pourcentage du chiffre d’affaires que l’entreprise financée s’engage à verser à ses investisseurs, pendant une durée déterminée. Voici les caractéristiques du Contrat de Royalties (redevances) offertes aux investisseurs et soumis au Porteur de projet TopMusic :
- Durée : 5 ans
- Taux de Royalties (redevances sur chiffre d'affaires) : 0% (année 1 et 2) ; 4.5% (année 3) ; 6.5% (année 4 et 5)

L’investisseur se verra verser sur les années 3, 4 et 5, une redevance (taux contractuels) en fonction du chiffre d’affaires réalisé. Dans le cas où le chiffre d’affaires réalisé est égal au prévisionnel (exemple ci-dessus), l’investisseur percevra un rendement annuel de 5.22% sur une durée d’investissement de 5 ans.